Le 27 mai au Collège Ahuntsic à partir de 13h se tiendra la finale du Défi 10+ semaines de RAUPI. 

Depuis début janvier, des étudiants et étudiantes de Cégep et d’universités relèvent le défi de concevoir des applications et prototypes technologiques pour des fermes urbaines– le défi RAUPI +10.

Le Laboratoire sur l’agriculture urbaine est heureux de publier le portrait 2023 de l’agriculture urbaines commerciales du Québec.

En 2023, 158 fermes urbaines actives ont été répertoriées sur l’ensemble du Québec, dont 27 sont en démarrage et 19 sont dans la filière de la production du cannabis et des végétaux pharmaceutiques.

Cette étude qui est issue d’une recherche exploratoire et de co-construction d’un regroupement de mise en marché de produits de l’agriculture urbaine montréalaise.

Les grandes conclusions de cette démarche sur 2 ans pour la création d’un regroupement sont : 1) qu’un regroupement offrant des services mutualisés de promotion et de livraison des produits de 12 fermes urbaines pourrait être viable. 2) Par contre, le développement d’un regroupement de mise en marché est freiné par la capacité d’implication des entreprises agricoles urbaines.

Le mercredi 22 novembre dernier avait lieu un premier Forum sur les fermes en intérieur au Québec, organisé par le Laboratoire sur l’agriculture urbaine. L’événement a permis de réunir environ 75 participants et participantes autour du développement des fermes en intérieur au Québec, dans toutes leurs diversités, allant de la production en hydroponie, la production d’insecte, de poissons ou encore de champignons.

Le Laboratoire publie les résultats de sa recherche sur 4 initiatives pour et par les personnes immigrantes. Dans le cadre du projet, le Laboratoire sur l’agriculture urbaine a réalisé l’activation de 2 projets de potager sur toit, de l’idéation à leur mise en place, l’accompagnement d’un organisme dans l’idéation d’un projet et l’analyse d’une micro-ferme.

Grâce à un soutien du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ), le Laboratoire sur l’agriculture urbaine va poursuivre pour les trois prochaines années les activités du Carrefour de recherche, d’expertise et de transfert en agriculture urbaine du Québec.

Le Laboratoire sur l’agriculture urbaine vient de mettre en ligne un rapport sur les parcs agricoles et les parcs agriurbains. Un mouvement en émergence depuis quelques années, mais qui a des racines plus profondes avec des projets existants depuis plus de 30 ans.

Le Laboratoire sur l’agriculture urbaine est heureux d’annoncer la parution de son guide sur le maraîchage sur toit. Ce guide est autant pour les producteurs et productrices agricoles urbains que pour les institutions ou les propriétaires voulant accueillir des projets. Il donne la base, et souvent plus, de ce qu’il faut savoir.

Après un an de travaux, le Palais des congrès de Montréal vient d’annoncer la réouverture de son toit vert avec une expansion majeure de ses installations dédiées à l’agriculture urbaine et à la recherche.

Le laboratoire sur l’agriculture urbaine est heureux de dévoiler l’intégralité de son programme du défi RAUPI et de lancer son volet innovation se déroulant sur 10 semaines

AU/LAB est heureux d’annoncer la mise en ligne de la boîte à outils du projet Communoserre, un projet qui visait à documenter les enjeux sociaux et techniques des serres communautaires urbaines dans les quartiers défavorisés.

Le Laboratoire sur l’agriculture urbaine poursuit l’une de ses missions en participant à l’activation du site qui accueillera pour les prochaines années La Prairie Louvain, un projet d'envergure porté par la Société de développement commercial (SDC) District Central.

Cette seconde étude de marché de AU/LAB montre un réel intérêt des consommatrices et consommateurs montréalais pour les produits qui seraient issus d’une ferme aquaponique de proximité. L’acceptabilité sociale d’un tel projet est forte. Près de la moitié des personnes consultées seraient prêtes à changer leurs habitudes d’achat pour les produits issus d’un tel projet. Par contre, dans le cadre de cette étude nous n’avons pas réalisé une étude sur l’acceptabilité sociale de l‘implantation physique des installations d’une telle exploitation.