Les serres et pépinières communautaires : une innovation en développement

Pousses Ô abris, Toulouse

Le Laboratoire sur l’agriculture urbaine publie une note sur le mouvement des serres et pépinières communautaires. Cette note est une synthèse d’une étude technico-économique réalisée dans le cadre d’un mandat plus vaste pour le développement d’un réseau de pépinières collectives dans une région du Québec.

L’agriculture urbaine s’inscrit depuis plusieurs années dans l’innovation technique ou sociale. Que ce soit le développement de fermes urbaines sur des toits, ce qui semblait impossible voici 20 ans, la création d’espaces partagés de production et de transformation, tels que la Centrale agricole à Montréal ou The Plant à Chicago, ou encore les fermes urbaines sociales telles que celles de la Cuisine collective d’Hochelaga-Maisonneuve, des Serres du Dos blanc, des Ateliers à la terre ou des Jardins du Bassin Louise. Et l’innovation en agriculture urbaine ne s’arrête pas là et elle devrait être une inspiration. Le laboratoire sur l’agriculture urbaine suit cette émergence depuis déjà 15 ans, et souvent y participe.

La Pousse qui pousse, Bruxelles

Depuis quelques années, on peut constater que les serres urbaines communautaires se développent dans les villes et villages du Québec. Récolte des générations à Dunham, Serres de Clara à Sherbrooke, les serres Émilie De Witt, du jardin des Orioles, de Sentier Urbain à Montréal, en sont des exemples. Et ce mouvement de serres communautaires ne s’arrête pas au Québec, des projets existent à Bruxelles, Paris, Toulouse, aux Pays-Bas, etc. Cette note se veut une analyse de ce mouvement au sein même du mouvement de l’agriculture urbaine.

Pour consulter cette note

Duchemin, E. et M. Desmaison (2024), Les serres et pépinières communautaires : une innovation en développement, Laboratoire sur l’agriculture urbaine, 13 p.

 

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